Les libérateurs ...

Mes amis , je lève ma choppine à notre victoire sur la vermine pirate de Puntarenas !!
Nous avons rendu à un gouverneur espagnol fiable les rennes de la ville se soir même .
Plus aucun acte barbare ne sera pratiqué dans se comptoir . Dieu a sans aucun doute donné sa bénédiction pour que la ville retrouve sa fraicheur d'antant !
Santé mes amis ! Et n'oublions pas nos morts qui se sont battus pour nous , ni les cris de l'ennemis demandant notre clémence .

Sur ce mes amis , faisons la fête ! Chantons dansons et buvons jusqu'à ce que le soleil se lêve , profitons de ne pas avoir rejoins Poséidon ce soir !

Sur ces derniers mots un harmonica , un Oud et un Djembé se firent entendre avec plus de conviction dans la salle sur . Une musique assez folklorique pour la situation !
Le rire des équipages calamariennes montèrent de la foule , heureux d'être encore de se monde .
Cortez lui même dansait , tant bien que mal , sur sa jambe de bois .
On entendait dans se brouhaha des choppes se cogner , des hommes chanter , les bruits de bas lourd et rythmés par la musique sur le plancher en bois .
Les hommes devaient décompresser comme ils le méritaient pensa Rymka , plusieurs semaines en mer les avaient miné .