A boire ou je tue le chien

Allez, on s'offre une tournée pour fêter notre victoire à Santa Marta, on l'a bien mérité, et c'est passé ras la chatte

Un vieil homme s'approcha du comptoir , le Tavernier , le maitre des lieux , un "serviteur" de longue date de la confrérie Espagnol la Hermandad del Calamar .
C'est lui qui servait les capitaines de tout bord en alcool (tout argent est bon à prendre pour lui , même d'un Français , tant qu'il se garde de proférer des menaces !) .
C'est également lui qui organisait le petit commerce de la base , comme il aimait appeler cette ile . Il servait même de recruteur lorsque la confrérie ne pouvait pas s'y affairer .
Bref cet homme était la colonne vertébral de se repère


Tiens donc Capitaine , goutte moi donc cette vinasse d'espagne et dit m'en des nouvelles !
J'ai récupéré ca d'un marchand au port !


Reprenant son souffle et s'accoudant sur le comptoir , il scruta le capitaine et dit

J'ai entendu dire de certains marchands que votre flotte ne rencontrait que des victoires dernièrement ! je trouve cela très exitant , et tu sais pourquoi ? Il se rapprocha encore de quelques centimètres comme pour garder un secret La Hermandad de Jadis est de retour , et vos ennemis vont s'en rendre compte peu à peu !

Il explosa d'un rire dément et se tapant la cuisse avant de rajouter : Vous allez me rendre riche les amis ! aha , moi qui ai servi la Hermandad depuis des années , j'ai bien le droit à cette faveur ! j'y ai laissé 3 doigts une jambe et pas mal de poils aux côtés de Pedrovasquez , un sacré dans son genre celui la ...aaaah lala .
M'en vais remettre un peu d'ordre dans ma reserve moi , dit à tes amis de venir serrer ma vieille pauvre main plus souvent ! j'ai soif de vos aventures !

Il s'en retourna vers sa reserve en clopinant

potter entra dans la taverne et vient au coté de wilou

-eh ben , mon ami , on a encore donner une sacrée raclée aux francais qui c étaient mis en tête de nous faire retourner d ou on vient !
il rit
il s addressa au tenancier :
- une bouteille de rhum !

le commodore se retourna , vit le vieil homme .

il dit :
- question de malchance , sa me deplairais pas moi , une ou deux femmes dans la confrerie . il rit


il ajouta :
- un verre ?

- nous allons dire que mon exemple est comme qui dirait différent ... je n en parlerai pas , cela fait partie intégrante du passé ...

il continua :
- quant a ceux qui désertent les couleurs espagnoles , je pensent que se sont les corsaires les moins prets a combattres sans arrêts et qui viennent de se rendre comptent qu en temp qu espagnols , ils y seront forcés !
quant aux anglais , je vous avoue je n en sais rien ... mais raisons étaient particulières et assurément différentes que celles des autres ...

- bien , puis je savoir ce qu il y est écrit ?

Il s' agit d' un questionnaire sur votre confrérie, questionnaire que j' ai aussi distribué dans diverses autres confréries.

HRP : il est parti en MP pour l' admin, voit avec lui pour le consulter

- bien , je lui donnerai .

- pensez vous ! nous avons fort à faire pour l instant ! en me faisant penser a cela , vous me faites penser que j ai du travail , je dois répondre a quelques lettres ...
sur ce , au revoir et bonne soirée .

Jacq Lional rentra en titubant dans la salle, son long manteau de cuir en lambeaux, sa chemise déchirée et tachée de sang. Ses cheveux longs et d’un blond laiteux étaient d’une saleté repoussante, du sang coagulé et de la sueur présents abondamment dans sa chevelure. Lançant un regard circulaire autour de lui, il observa, essayant de déjouer un possible piège. Il pouvait voir distinctement le Commodore Potter, apprenti diplomate, le brillant éclaireur Porco Rosso, le tavernier et un étrange personnage –sûrement celui dont lui avait parlait le quartier-maître Rodrigo- avec un air qui en disait long sur sa personnalité.

Se tournant vers le bar, il demanda d’une voix fatiguée et étrangement froide :

« Une bouteille de vin Anglais et de la viande, merci ! »

Puis se tournant vers l’étrange Portugais, il continua :

« Je viens d’être averti que vous aimeriez parler avec le Grand Octopus Rymkawa ou avec moi-même. Je suis donc venu mais je n’ai pas eu le temps d’apprendre qui vous êtes. Permettez moi tout de même de vous présenter le Capitaine Porco Rosso, un grand éclaireur, maître de l’escarmouche et du harcèlement et le Commodore Potter, apprenti diplomate qui a la manie bien utile de nous dénicher n’importe quel type de renseignements. Je suis moi-même Anglais et Octopus dans la Hermandad. »

S’écroulant sur une chaise, il continua :

« Nous livrons de rudes combats en ce moment, ne soyez pas étonné de notre manque de présence et de notre état lamentable. »

en effet , l état vestimentaire des capitaine était déplorable , signe de combats acharnés . cependant , les vetement du commodore avaient eu le temp d etre changés , son navire était en train d etre armé . en effet , l achéron avait sombré lors d une grande tempete ...

- ma foi , je vous remercie pour ces éloges mon bon jack ! et je puis vous dire , monsieur pedro , que le capitaine lional est un des fleurons des corsaires espagnols et un joyeux camarades .

L’homme au regard de glace qui attendait la réponse du journaliste se tourna vers le nouvel arrivant. Le jaugeant du regard, il finit par desserrer sa mâchoire crispée pour répondre :

« Salutations, bienvenu dans le Quartier Général de la Hermandad Del Calamar, je suis heureux que vous ayez accepté notre proposition –et je remercie au passage le Commodore-, mais, quand vous parlez d’alliance, pourriez-vous nous en dire plus ? »

Puis après avoir rempli cinq verres de Grappa, il les distribua…

- bonsoir rymkawa et merci pour les papiers ... voulez vous que je m occupe de la paperasse de la confrérie ? je pense que vous avez besoin de repos !

Soudain les yeux du journaliste s'illuminèrent au son des feuilles qui se froissaient en passant de main en main. Le regard un peu hagard, il essuya subrepticement un léger filet de bave naissant à la commissure de ses lèvres.

-AHEM! Je... Veuillez me pardonner, vous me parliez? J' ai bien peur de ne pas avoir suivi le fil de votre pensée, j'étais... ailleurs. Cela m' arrive parfois, sans doute les affres de l'âge.
Oh! Mais je vois que vous avez rempli mon questionnaire, je vous en remercie, j'espère que vous serez satisfait de l'usage que j'en ferai.

Puis, constatant la présence de Adam Smith, il le salue d'un signe de tête

-Voilà quelques visages que j' ai déjà croisé. Ainsi votre présence, cher passager confirmerait-elle la prise de position de votre confrérie en faveur de l'Espagne?

Il se tourne vers Lional et Rymkawa :

-J'ai cru comprendre que votre fondateur est de retour dans les Caraibes. il me semblait qu' il avait été tué? à moins que ce ne soit encore un coup pendable de Van Hummel?
Avez vous eu des contacts avec lui? Va-t-il reprendre sa place parmi vous?

Il bu quelques gorgés.

Bonjour señor Del Asturias, nous ne prenons part pour aucune nation en particulier, nous avons certe beaucoup d'amis espagnol, et nous venons de signer un PNA avec la Hermandad il y a peu.

Il se rempli un nouveau verre.

Et donc, vous nous croyez en guerre contre la France? Je suppose que cela vien du fait de notre harcèlement contre les maréchaux, mais sachez que nous nous battons contre leur impérialisme totalitariste. Beaucoup de gens se trompent sur les Passagers, certain disent que nous somme des pirates, d'autre que nous voulons prendre la place des maréchaux. Mais il n'en est rien, et même si je suis anglais je souhaite, comme mes confrères, des caraibes ... européenne si je peut dire.

Il tendi une bouteille a Pedro-Paolo

Goutez, c'est de la grappa, cuvée spécial Trévizo, vous m'en direz de nouvelle.